CNEWS et Brexit : Londres va souffrir !

CNews et Brexit

13 conséquences

Ce n’est pas une blague !

Depuis l’arrivée de Boris Johnson, l’article de CNews et Brexit devient un peu inutilisable. CNews, le quotidien gratuit français, se trouve en Île-de-France. La publication publie les conséquences de la sortie du Royaume-Uni. Chez CNews et Brexit, la méconnaissance totale du sujet arrive en tête. Voici notre analyse depuis Londres !

Surprenant que ce quotidien du métro et RER gratuit parle d’un sujet aussi important avec une telle ignorance.

Pour faire simple, CNews Matin joue la carte de la catastrophe économique avec les 13 conséquences du Brexit pour le Royaume-Uni.

Avec des sources fiables, ces derniers annoncent la débâcle de la Grande Bretagne dès le lendemain du votre au référendum de 2016.

En réalité, les prédictions ne se sont jamais produites. Fausses de A à Z !

CNews et Brexit : la tempête financière

Avis de chaos sur la bourse de Londres selon le média français!

En fait, la Livre Sterling surévaluée depuis des années baisse au fil des informations. Quant aux exportations britanniques, elles battent des records.

À ce jour, la devise britannique se trouve à la hausse. Sa valeur se compare à 2011 et 2012 avec la monnaie unique.

CNews et Brexit : 10 ans pour négocier

Selon l’ancien Ambassadeur du Royaume-Uni (pro-UE) auprès de l’Union Européenne, les négociations risquent de prendre une décennie.

Rappelons juste que ce dernier ne partage pas l’avis du Gouvernement, d’où sa démission. Depuis lors, il fait en sorte de « battre le fer » avec ses anciens employeurs.

Lorsqu’il s’agit de business, la Grand Bretagne sait s’y prendre pour anticiper, s’adapter et rebondir dans cet environnement post Brexit.

Boris Johnson et son accord de retrait

À la demande de Boris Johnson à Londres, un accord de retrait se trouve sur la table et a passé une première étape au Parlement britannique.

Selon les interlocuteurs comme Barnier ou Johnson, négocier un accord de libre-échange prendra de 1 à 3 ans au maximum.

A l’inverse de CNEWS, nous restons pragmatique. En effet, il y a des millions d’emplois et des milliards d’Euros sur la table.

Par conséquent, un accord commercial sur le Brexit se fera à la dernière minute.

CNews et Brexit

À votre avis, quel est le peuple qui déciderait par référendum de s’appauvrir ?

Tout comme le refus d’adopter la devise européenne, les britanniques constatent que l’Union européenne se trouve en mauvaise posture.

Les britanniques seront plus pauvres

Quitte à rencontrer des difficultés, le peuple britannique reste confiant en son avenir avec des alliés économiques de premier ordre.

En se reposant sur le Commonwealth (soit 2.4 milliards d’habitants) et les USA, ces derniers sauront s’adapter et surmonter les enjeux de demain.

Relèvement des barrières douanières

En ce qui concerne le business, gagnant-gagnant ou oeil-pour-oeil et dent-pour-dent deviennent la nouvelle norme pour Boris Johnson au Royaume-Uni.

À nouveau, les enjeux sont considérables de conséquences pour les emplois, les vies des personnes et les affaires.

Le win-win sera t-il toujours de mise ? Pas sûr !

Un pays moins attirants pour les investisseurs ?

4 ans après le référendum sur la sortie du Royaume-Uni, l’incertitude des futures négociations sur les accords commerciaux n’empêchent pas Londres de dominer.

En effet, la place financière de la City de Londres reste encore la plus importante dans le monde, devant ou après New-York selon les trimestres.

Les délocalisations

Or, les experts prédisaient le Brexodus – à savoir l’exodes des banques, entreprises et des citoyens européens.

À dire vrai, les géants comme Facebook et Google décident d’investir des milliards à Londres pour préparer leurs sièges europe.

En 2019, L’Oréal décide d’implanter leur siège mondial à Londres. De plus, la demande de bureaux se trouve en hausse de 76% par rapport à 2018.

Récession en Perspective

Le UK va connaitre la crise

Quant à l’économie, l’année 2017 fût la plus difficile à cause de l’incertitude des pourparlers du Brexit.

Cependant, la croissance économique en France se trouve à 1.9% pour 2017.

Avec une décision aussi courageuse que la sortie de l’Union Européenne, la Grande Bretagne a connu une croissance économique de 1.8% en 2017.

Depuis 2010 à 2016, le taux de croissance du Royaume-Uni tourne au-delà 2.5%. Pendant le même temps, l’Union Européenne rencontre une croissance molle.

Récession mondiale

Dans un monde où les économies sont interconnectées, les échanges commerciaux suivent les tendances mondiales.

Sous Hollande, la France a fait du sur-place. En 2019, la croissance du Royaume-Uni fait jeu égal avec la France.

En effet, les deux voisins européens sont à 1.3% pour 2019. À notre connaissance, l’hexagone ne gère pas de Frexit.

Incertitude pour les entreprises

Avec l’accord de Boris Johnson sur la table, 2019 et 2020 auront certainement une croissance en hausse à la suite des élections du 12 décembre 2019.

De plus, la crise financière annoncée ne se produit toujours pas. À cette heure, la capitale britannique reste l’un des hubs mondiaux de la finance, du digital et du business.

Quid de l’emploi ?

Un chômage en hausse ?

En réalité, le chômage britannique reste à la baisse. Il est au plus bas depuis 50 ans avec un taux de 3.7%. Or, la politique du Gouvernement reste la souplesse et flexibilité.

Pour comparer, le taux de chômage en France tourne à 8% ou 9%. À ce jour, la flexibilité du marché du travail engendre la création de nombreux emplois.

De plus, le chômage des jeunes atteint des sommets à 20% dans l’Union. Pour sa part, le Royaume-Uni est à moins de 10%.

Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes !

CNews et Brexit : En mode business…

Selon le quotidien, le Royaume-Uni aura un manque à gagner fiscal.

En abaissant le taux d’IS pour les entreprises britanniques, le gouvernement table sur la tendance du plus de sociétés et moins d’impôts.

Pour de nombreux français, cela semble un suicide. En effet, le monde entier envie le modèle social de la France.

Cependant, personne ne le copie…

Fuite annoncée des talents du championnat britannique ?

Grâce à la fiscalité la plus attrayante en Europe, CNews prétend que les footballeurs risquent d’être dans l’obligation de quitter le Royaume-Uni.

Avec des droits TV pharaoniques, les joueurs de la Premier League obtiendront un permis de travail très facilement.

Or, ces derniers payent également de gros impôts. Les révélations de CNews choquent au plus haut point.

Vraiment du n’importe quoi selon la Rédaction !

CNews et Brexit : Un visa pour aller à Londres

Dès 2021, il faudra très certainement un visa pour se rendre au Royaume-Uni. Comme aux USA, il y aura un visa type ESTA pour les touristes.

Donc, les politiques mettent en place un système de visas, similaire à celui des États-Unis. De plus, des machines à reconnaissance faciale sont installées dans les aéroports londoniens.

Ces dernières amélioreront le flux de touristes à l’arrivée en Grande Bretagne.

CNews et Brexit : Des pertes pour les entreprises françaises

Emmanuel Macron et Bruno Lemaire jouent sur un fil durant la période du Brexit.

Alors que Bruno Lemaire drague les banques et grandes entreprises à Londres, les efforts peinent à produire des effets concrets cette année.

En effet, la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne peut effectivement pénaliser les entreprises françaises peu préparées au Brexit.

De fait, le marché du Royaume-Uni se positionne à la seconde place derrière l’Allemagne.

Conséquences du Brexit pour la France

Avec un leadership incontestable sur le secteur des vins, de la gastronomie et du luxe, les TPE-PME françaises auront beaucoup à perdre.

Des milliers d’empois et des sommes importantes risquent de réduire la croissance de la France, car les entrepreneurs continuent à quitter la France.

Conséquences pour l’Allemagne

Le Royaume-Uni est le premier marché européen pour les voitures allemandes. Selon nos sources, il y a entre 750.000 à 1 million d’emplois en jeu.

Moins de touristes britanniques

Avec la baisse de la Livre durant des semaines, il est fort à parier que les britanniques seront moins nombreux à profiter de la Dordogne et du Sud de la France.

À l’inverse, les touristes français abondent à Londres. En effet, la Livre est moins chère par rapport à l’Euro.

Londres est couronnée capitale mondiale du tourisme.