Puissance économique européenne : Zoom en 2019 !

Puissance économique européenne
Le rôle de l’UE dans le monde !
De nombreuses divergences économiques…
En plein Brexit, la puissance économique européenne devient une vraie question et un défi pour demain. En effet, l’UE offre des avantages et inconvénients depuis l’élargissement de l’Union à 28. Notre analyste sur la puissance économique européenne !
Sommaire
Puissance économique européenne
Au coeur de l’UE et de ses divergences !
Dans les faits, la richesse de l’UE est répartie selon les différents pays et ses politiques pour l’entreprise.
En effet, en 2016, les puissances économiques comme la France, le Royaume-Uni, l’Italie et l’Espagne représentent 68 % du PIB de l’Europe pendant que la zone euro représentait environ 71 %.
Pour faire simple, les inégalités sont énormes.
Les divergences et le revenu national brut (RNB)
En outre, les inégalités en termes de PIB de chaque habitant au sein de l’Union Européenne se remarquent nettement.
En effet, les pays au Nord de l’Europe ont un RNB de plus de 30.000 d’euros. À l’inverse, la majorité des pays de l’Est atteignent moins de 20.000 euros.
Par contre, seul le Luxembourg a un taux élevé par habitant, soit 2,7 fois en avant sur la moyenne en 2016.
De plus, il n’atteint pas la moitié de la moyenne en Bulgarie.
2019 : UE et Puissance économique européenne
À ce titre, force est de constater que la majorité des pays qui ont intégré l’UE en 2004, 2007, 2013 se rapprochent les uns des autres en termes de niveau de vie.
De plus, les échanges ne cessent de s’accroitre et feront bientôt 3070 milliards d’euros. En ce qui concerne les exportations, l’Allemagne évolue à 22,6 %.
Par conséquent, l’Allemagne reste le grand gagnant au sein de l’Union européenne.
La zone euro et sa fondation
Après la seconde guerre, il faut rappeler que la Communauté économique européenne (CEE) a été créée en 1957 et donna naissance au Traité de Rome.
Donc, la CEE tire sa source de la CECA et brise toutes les barrières qui empêchaient de faire circuler l’acier et le charbon.
De plus, la CEE reste un groupe de nations souveraines travaillant ensemble sur les échanges économiques et se focalise sur des objectifs économiques communs.
La puissance économique européenne passe par une intégration plus poussée
En plein Brexit, l’importance de l’intégration économique entre les États-membres a commencé à semer le doute au sein du Marché Commun.
Depuis l’instauration du marché unique en 1986, cette intégration se renforce au fil des mois et des années.
De fait, ce marché unique a mis sur pied les quatre libertés de l’Union européenne en 2019. Il s’agit de la circulation des personnes, des biens, des services et des capitaux.
Par conséquent, le traité de Maastricht a permis à certains états de créer l’Union Economique et monétaire – ainsi que la monnaie unique.
Le défi de l’Euro
À force de vouloir plus d’intégration entre les états-membres, la Commission poussa à la création de la monnaie unique.
Sous l’impulsion de François Mitterrand et de Jacques Delors, 1999 fut l’année de la monnaie unique qui facilite les transactions entre les pays.
Ainsi, la Banque Centrale Européenne démarra. À ce jour, elle participe activement à la réduction de l’inflation et des dettes.
La barre des 3%
Ceci étant, les pays membres doivent limiter leurs dettes 3%. Actuellement, la zone euro comprend 19 membres.
Cependant, certains pays comme le Royaume-Uni, Danemark et Suède n’y ont pas participé, pendant que d’autres tentent de satisfaire en vain aux critères économiques.
Qui sont les grands oubliés ? À notre grand regret, les peuples de l’UE !
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Agissez comme s’il était impossible d’échouer. – Winston Churchill