Financement de la FinTech en Hausse

Une Industrie Disruptive
Financement de la FinTech en 2018
Au coeur des banques digitales
En cette année 2018, le financement de la FinTech reste orienté à la hausse.
Malgré les effets du Brexit, l’économie et les entreprises tiennent la route. Pour preuve, les banques digitales connaissent une hausse de l’activité.
Pour mémoire, la FinTech est l’alliance des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle appliquées aux services financiers.
De fait, les banques digitales se retrouvent au coeur de l’actualité dans le monde. En qualité de premier centre financier au monde, Londres s’impose comme le hub mondial de la FinTech.
Au coeur des banques digitales
Les banques digitales promettent de révolutionner la banque de détail. De fait, les agences des établissements financiers se retrouvent en péril de fermeture.
Issue de la FinTech, cette nouvelle génération de banques vous permet d’ouvrir un compte à l’aide votre mobile et de votre passeport.
En conséquence, l’opération prend 5 minutes et votre carte de débit arrive en 24 h. De la même manière, vous pouvez ouvrir un compte dans de nombreuses devises.
Un support via chat reste à disposition. À notre avis, il manque un conseiller joignable par téléphone – en opposition à un call center.
Financement de la FinTech
La ruée des investisseurs
Malgré la sortie de la Grande Bretagne de l’Union, les investisseurs se ruent sur la FinTech à Londres.
Brexit ou pas, la ruée vers le financement des entreprises de la FinTech demeure en plein essor. En effet, il ne se passe un jour sans une nouvelle campagne de financement.
Les montants investis pulvérisent tous les records à ce jour, faisant de la capitale britannique, le centre mondial de la FinTech.
Cette montée en flèche se confirme en 2018 au Royaume-Uni, également aussi en France. Cependant, l’hexagone reste un petit acteur du secteur de la FinTech.
Des sommes considérables affluent à Londres et financent des projets technologiques.
Aussi bien les américains, que les britanniques, ne lésinent pas sur le nombre de transactions et la valeur des investissements.
Et l’Union Européenne?
Quant à Bruxelles, l’Union se lance sur segment à pleine vitesse. L’objectif affiché de l’Union: devenir le hub mondial de la FinTech devant Londres!
Dans un environnement complexe, elle ambitionne de créer un passeport européen pour le financement participatif.
Ce dispositif permet à tous les pays de se regrouper et de collecter des fonds en un temps record. Avec du retard, Bruxelles désire s’imposer sur ce segment en pointe.
N’oublions pas que la blockchain reste également au coeur du débat. L’Union prépare un code d’éthique afin de réguler cette activité.
Originaire de Singapour, il s’agit de la SandBox.
Au coeur du financement de la FinTech
Loin d’être une nouvelle bulle financière en Europe ou aux USA, la FinTech fonctionne sur la base de la Blockchain. Le financement de la FinTech ont la volonté de prendre le leadership de la relation client/banque.
D’ici quelques années, votre agence bancaire physique n’aura plus aucune raison d’exister. En effet, la relation entre les clients et les banques se passeront via un smartphone.
Déposer un chèque & rencontrer un conseiller seront déplacés sur votre téléphone, via une application sécurisée.
Les clients des banques digitales
Au delà du financement de la FinTech, les coeurs de cibles sont clairement identifiés par les établissements financiers et les start-ups sur ce marché.
Les premiers concernés sont la génération Y et Y, ceux nés dans les années 1980, 1990 et 2000. En fait, les millennials imposent leur mode de consommation.
Il s’agit d’un début, sachant que l’argent liquide va forcément disparaître, à un moment donné. En effet, l’utilisation des services bancaires change depuis des années.
Gardant en tête la sécurité et la rapidité des transactions, la confidentialité des données reste tout aussi importante.
A l’heure où Facebook montre bien des défaillances en la matière, le braquage d’une banque se transforme par le braquage d’une application bancaire.
En conclusion, les obligations premières des acteurs du numérique sont la sécurité et la protection des données de chaque utilisateur.
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— Business Booster 247 🚀 (@bb247hq) 9 April 2018
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Agissez comme s’il était impossible d’échouer. – Winston Churchill