Récession en Europe et aux Etats-Unis ?

Récession en Europe et aux Etats-Unis ?

Récession en Europe et aux Etats-Unis

Économie européenne et mondiale

La récession en Europe et aux Etats-Unis remise en question

Comment se porte l’économie ? Zoom sur la récession en Europe et aux États-Unis ? Avec des tarifs douaniers en hausse, le commerce mondial reste à la peine. Donc, les anticipations des experts sont assez pessimistes. Or, les entrepreneurs restent prudents face à une Union européenne et des Etats-Unis peu attractifs, d’où la sortie du Royaume-Uni.

L’économie ralentit, donc mais peut-on pour autant craindre une récession ? Ceci est la vraie question pratique pour les talents et entrepreneurs internationaux.

S’agit-il de la planète ou des cycles économiques ?

Or, échapper aux menaces de ralentissement ou de récession consiste à monter sa boite dans un cadre business-friendly.

On a pas trouvé mieux !

Les Etats-Unis menacés ?

Avec le niveau historiquement élevé des taux obligataires, cela  pourrait supposer que la récession est proche.

Si ce scénario venait à se confirmer, les entreprises américaines seraient en fâcheuse posture. Or, leur taux d’endettement est en effet élevé depuis 2010.

En 2019, leur dette est estimée à 46 % du PIB.

Face à une demande mondiale en berne, des bénéfices au plus bas et des agences de notation toujours plus exigeantes, des séries de licenciements pourraient avoir lieu.

Si tel était le cas, les consommateurs perdraient confiance en l’économie. La récession serait donc en marche.

Si ce scénario reste possible, la probabilité qu’il se réalise est très mince. En effet, l’économie américaine est génératrice d’emplois à l’inverse de la France.

Récession en Europe et aux Etats-Unis ou non ?

En réalité, le chômage est au plus à 4% actuellement. Les augmentations salariales se multiplient depuis 2 ans.

Donc, le remboursement de la dette est aussi au plus bas depuis 2010. Les ménages peuvent donc se concentrer sur la consommation intérieure.

D’ailleurs, les chiffres de la consommation au 2nd trimestre sont en hausse. De plus, le marché de l’immobilier profite de la baisse des taux hypothécaires.

De son côté, le consommateur soutient l’économie américaine. La Réserve fédérale se tient prête à contrer tout affaiblissement économique.

Mais, certains analystes estiment que la récession n’est pas une menace proche.

Un risque modéré en Europe

Donc, la zone Euro connaît un ralentissement de son économie. Mais, la récession semble encore loin du vieux continent.

Pour changer, le dynamisme de la France et de l’Espagne représente des points positifs pour une fois depuis des décennies.

Dans la plupart des pays de l’Union européenne, la baisse du chômage et l’augmentation des salaires supérieure à l’inflation soutiennent aussi la consommation.

Quid de l’Allemagne ?

Pour autant, tous les pays ne connaissent pas une situation aussi positive. En effet, l’Allemagne est victime d’un ralentissement de son économie.

Donc, son chômage remonte et les consommateurs deviennent prudents. Le 3ème trimestre sera encore une croissance négative – point de départ d’une récession.

Toutefois, si ce scénario venait à se produire, l’arme fiscale serait utilisée judicieusement par le Gouvernement Merkel.

Avec un budget excédentaire et une dette publique en baisse, l’Allemagne possède les moyens de relancer sa croissance et consommation.

Quid de l’Union européenne ?

Fiscalité énergétique en Allemagne

Les Verts ont d’ailleurs émis l’idée d’une relance fiscale énergétique.

De fait, les partis ont partagé leurs préconisations avec Angela Merkel. Cette dernière devrait céder sur certains points.

Donc, la situation allemande a des chances de plonger l’Union européenne dans une récession. Pour certains analyses, cela ne sera pas le cas.

À suivre entre les USA, le Royaume-Uni et l’Union européenne !

Récession en Europe et aux Etats-Unis ?

Récession en Europe et aux Etats-Unis

L’économie mondiale va-t-elle chuter ?

Les résultats économiques de certaines grandes entreprises traduisent un profond malaise dans un monde en concurrence.

Donc, Carlos Tavares (groupe PSA) a publié des chiffres catastrophiques pour le 1er trimestre 2019 avec une baisse de 12,76 % au niveau mondial.

Or, la situation est plus préoccupante pour le marché chinois avec un recul de 62 %. Mais, la chute des commandes s’élève à 44 % en Argentine et en Turquie.

Par conséquent, la situation du constructeur ne reste pas un cas isolé, puisque les firmes ont enregistré une baisse moyenne de 6,6 %.

Tout comme dans la zone Euro avec le Brexit, cette situation qui n’avait pas eu lieu depuis la crise de 2008 laisse craindre sur la situation actuelle.

Royaume-Uni, Union européenne et USA

Or, la croissance mondiale marque le pas pour certains experts. D’autre part, d’autres économistes s’y refusent.

En effet, les années 2017 et 2018 connaissent une excellente croissance. Malgré tout, le recul est en cours. Selon les analystes, ces signes annoncent une récession.

Pourtant, certaines institutions internationales restent convaincues qu’il s’agit d’un simple ralentissement économique.

Le rebond estimé sera donc conséquent, avec une hausse de la croissance de 3,2% prévue en 2019 et de 3% en 2020 selon l’OCDE.

Pourtant les plus pessimistes annoncent une récession dans les 9 prochains mois, ou au plus tard dans un an.

Et, qu’en est-il de la situation du Royaume-Uni ?

Les Etats-Unis et la Chine à la peine

Pour confirmer cette théorie, l’inversion de la courbe des taux représente un mauvais signe.

Avec des rendements à court terme plus élevés que dans le passé, la situation semble évoluer dans le bon sens pour le bien des économies.

Pourtant, cette caractéristique annonce un retournement de l’économie en place.

Un nouveau cycle pour les Etats-Unis

Les observations des deux grandes puissances mondiales ne sont pas là pour rassurer.

Si les États-Unis affichent la plus grande période de prospérité économique depuis 1854 et un taux de chômage bas, les analystes anticipent la fin de ce cycle.

Or, les économistes peuvent attester que toute période d’expansion suit toujours un ralentissement. Même, les USA ne devraient donc pas y échapper.

Comme promis par Donald Trump. la réforme fiscale a donné une dernière bouffée d’oxygène à l’économie depuis 3 ans.

Cependant, les effets de cette baisse d’impôt ne pourront pas durer éternellement. En 2019, ils commencent à s’estomper.

Reste à savoir si ce ralentissement sera modéré ou important, car les conséquences mondiales seront énormes sur les économies occidentales.

Pourquoi ne pas s’implanter au Royaume-Uni ou s’installer à Londres à la croisée des USA et de l’Asie ?

Récession en Europe et aux Etats-Unis

Récession en Europe et aux Etats-Unis

De son côté, la Chine cherche à imposer un nouveau modèle économique. Donc, elle doit se battre contre certaines difficultés sur le plan de l’environnement.

Pour commencer, la guerre commerciale a affaibli le PIB chinois. Ce dernier se trouve en hausse de 6,2% au 2nd trimestre, soit le plus mauvais chiffre depuis 1992.

Une transition économique délicate pour la Chine

Alors que la croissance du pays dynamise la croissance mondiale, cette situation inquiète certaines personnes.

À l’origine de la majorité des importations, un ralentissement de l’économie chinoise aurait de sérieuses conséquences au niveau mondial.

Pour que la situation se stabilise, il faudra donc que les tensions avec les Etats-Unis se calment pour éviter toute récession.

Selon la rédaction, cela va durer des années comme toute guerre commerciale.

Les autres sources d’inquiétude

Or, les deux géants ne représentant pas les seuls problèmes du monde, on peut s’attendre à un ralentissement ou une récession dans le pire des cas.

Brexit

Par ailleurs, la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne amène son lot d’incertitudes. En effet, la perspective d’un hard Brexit met un frein à la croissance mondiale.

Moyen-Orient

Au Moyen-Orient, les tensions avec entre les USA et l’Iran font craindre une nouvelle crise du pétrole. Cette dernière pourrait avoir des conséquences dramatiques.

Dans un tel contexte, les entreprises restent prudentes et remettent leurs investissements à une date ultérieure à cause des incertitudes.

De fait, ce comportement mine la confiance des acteurs économiques et de la croissance mondiale par ricochet.

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