Fiscalité des entreprises au Royaume-Uni en 2019

UK
Fiscalité des Entreprises au Royaume-Uni
Comment se passe la fiscalité des entreprises en Angleterre ?
Cet article aborde la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni pour 2018, 2019 et 2020. Au pays de la libre entreprise, la fiscalité reste plus avantageuse en Angleterre. Faisons le point de l’impôt société, à la fiscalité des dividendes – sans oublier les charges sur les salaires !
- Impôt société 2018-2019
- Impôt société Post Brexit
- Cotisations salariales
- Fiscalité des dividendes
- Appel de charges
- Cadre législatif très favorable
Fiscalité des entreprises au Royaume-Uni
Impôt société en Angleterre
À Londres, le slogan de Sarkozy “payer moins pour gagner plus” s’avère une réalité. En effet, la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni permet de gagner plus.
Alors que la France a la palme d’or de la plus forte pression fiscale pour 2018 parmi les pays de l’OCDE, la Grande Bretagne prend le leadership du meilleur pays pour les entreprises.
Impôt société 2018-2019
Pour l’année fiscale en cours, la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni offre un impôt société à 19%.
Dès 2020, l’IS de toutes les sociétés Limited descendra à 17% sur les bénéfices imposables.
Impôt société au Royaume-Uni post Brexit
De fait, la France a un retard certain sur la fiscalité des sociétés. En 2018, l’IS s’établit à 33,3%.
Ensuite, le Gouvernement français a promis de le baisser par étapes successives. À compter de 2019, l’impôt société en France sera de 31% pour terminer à 25% en 2022.
Quant à la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni après le Brexit, Londres se positionne comme la plaque tournante du business dans le monde.
En réalité, le parti au pouvoir parle déjà d’un impôt société à 12% – voire 10% – pour attirer les entrepreneurs et investisseurs étrangers.
Londres deviendrait un Singapour aux portes de l’Union, à suivre…
Cotisations salariales au Royaume-Uni
En France, les cotisations salariales et patronales asphyxient les entreprises. À dire vrai, la taxation du travail dans l’hexagone tue l’innovation.
En effet, les charges salariales en France affectent la compétitivité du pays. De fait, l’image de la France pour l’attractivité économique reste médiocre.
Au fil des mois, nous avons rédigé une série d’articles sur la compétitivité de la France dans le monde.
Côté fiscalité des entreprises au Royaume-Uni, Il y a matière à comparer avec d’autres pays.
Pour revenir aux cotisations salariales au Royaume-Uni, elles demeurent très faibles en opposition à l’Union européenne.
Par conséquent, la moyenne en fonction des salaires s’établit comme suit:
- 13,8% pour l’employeur
- 7% pour le salarié
Avec un cadre législatif favorable aux entreprises, la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni a un impact direct sur l’emploi.
Le résultat se voit dans le taux de chômage (4%) du Royaume-Uni – au plus bas depuis 1975.
Mr Macron appréciera !
Fiscalité des dividendes en Grande Bretagne
Au pays de la libre entreprise, le nombre de TPE et PME s’élève à presque 6 millions malgré les incertitudes du Brexit.
De fait, entreprendre reste une seconde nature et une religion pour les Britanniques. En effet, pourquoi se priver de tels avantages juridiques, fiscaux et économiques ?
En 2018, la fiscalité des dividendes pour un résidant fiscal britannique s’élève en moyenne de 7% à 15% selon les montants.
Cependant, un tranche supérieure existe pour les très gros montants. Cette dernière concerne peu de personnes.
En réalité, la fiscalité des dividendes reconnaît la prise de risque des entrepreneurs. À l’inverse de la France, un entrepreneur à succès devient un symbole.
Pour les résidents fiscaux français, les dividendes perçus sur les sociétés détenues hors de France bénéficient d’une exonération de 40%.
Les dividendes des sociétés étrangères se déclarent sur votre impôt sur le revenu.
Pour conclure, la France reste le paradis du fisc. À défaut de devenir le paradis des entrepreneurs, les fonctionnaires sont mieux lotis en France
Quant aux entrepreneurs, ces derniers sont mieux vernis au Royaume-Uni. À vous de choisir !
Appel de charges en Angleterre
Championne du monde de la fiscalité, les célèbres RSI et URSSAF mettent en danger la trésorerie des sociétés françaises.
Comment cela se passe t-il au Royaume-Uni ? Comme à son habitude, la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni s’avère simple et attractive.
Par conséquent, les appels de charges n’existent pas en Angleterre. En effet, la mentalité anglo-saxonne ne consiste pas à faire payer avant de gagner de l’argent.
De fait, le RSI ou l’Urssaf n’ont aucun homologue outre-Manche. Cet oxygène laissé aux entreprises et aux salariés explique le dynamisme de l’économie UK.
Cadre législatif favorable aux entreprises
Pour conclure, vous faire bénéficier du Brexit et de Londres Business-Friendly, c’est notre métier !
Par conséquent un entrepreneur qui songe à trouver des investisseurs et donner une nouvelle dimension à sa carrière, doit mettre Londres au coeur de sa stratégie.
Sur le plan de la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni, s’établir à Londres prend toute sa valeur pour tout entrepreneur français.
Entre l’impôt société, les charges sociales et la fiscalité des dividendes, Londres s’impose comme “The Place To Be”.
De plus, vous n’avez pas besoin de demander un numéro de TVA jusqu’à hauteur de £ 85.000 de CA. C’est la magie de la fiscalité des entreprises au Royaume-Uni !
Le statut de la sociétés anglaise Limited réunit l’auto-entreprise, la micro-entreprise, l’EURL, la SARL et même la SAS.
Pour conclure, nous dirons merci à la “Dame de Fer” pour l’impôt société et la fiscalité des dividendes.
Elle a simplifié le droit des sociétés et du travail au Royaume-Uni. Nous étions en 1984 !
Agissez comme s’il était impossible d’échouer. – Winston Churchill