Michel Barnier sur les échanges commerciaux : Alerte contre une rupture brutale du commerce

Michel Barnier
Royaume-Uni vs Union européenne !
Rupture brutale des échanges fin 2020
Cet article décrypte la vision de Michel Barnier sur les échanges commerciaux entre l’Union européenne et le Royaume-Uni à partir de 2021. En effet, ce dernier indique qu’un accord commercial n’est pas une évidence. Selon lui, les flux entre Londres et le continent pourraient s’arrêter du jour ou lendemain. Or, Bruxelles oublie que la Grande Bretagne a un déficit commercial énorme par rapport à ses partenaires européens. Londres achète, Bruxelles vend !
Donc, on peut être surpris par les paroles de Michel Barnier sur les échanges commerciaux. Le Royaume-Uni peut acheter à d’autres partenaires dans le monde.
En réalité, les délégations des différents pays font la queue pour obtenir un rendez-vous avec les services concernés.
C’est affreux et très positif !
Michel Barnier sur les échanges commerciaux
Donc, le négociateur de l’UE considère que la Grande Bretagne est fortement dépendante des importations des 27 pays membres.
Barnier se croit en position de force face à Boris Johnson. Au pays de la libre entreprise et de la souplesse, on ne voit pas cela d’un bon œil.
C’est une drôle de relation….
Voitures
En revanche, Michel Barnier oublie que d’autres pays dans le monde fabriquent des voitures, produisent des fruits et légumes et même de la viande.
Parmi ces derniers, on y trouve les USA, le Japon, la Corée du Sud pour l’industrie automobile.
Fruits et légumes
En complément, l’Australie, le Maroc, la Tunisie, l’Afrique du Sud, l’Algérie, la Nouvelle Zélande, le Mexique et les USA étaient là lors du sommet sur le commerce en 2021.
Cet événement vient de se terminer. De plus, tous ces pays produisent des fruits et légumes.
Viande
Par ailleurs, les pays suivants produisent aussi de la viande de qualité : Australie, Nouvelle Zélande, Argentine…
Se développer au Royaume-Uni ? Oui !
Afin de développer vos activités au Royaume-Uni et de prendre un virage à l’international, la rédaction lance son guide pratique 2020 pour se lancer à Londres.
Michel Barnier sur les échanges commerciaux
«La première phase est maintenant finie et nous devons tout reconstruire», a déclaré Michel Barnier à quelques jours du retrait officiel du Royaume-Uni.
Drôle de manière pour reconstruire une nouvelle relation saine et durable avec Londres : «À la fin de l’année (…), si nous n’avons pas d’accord, ce ne sera pas la routine habituelle et le statu quo», a-t-il poursuivi.
«Nous devons affronter le risque d’être au bord du précipice, en particulier concernant le commerce», a-t-il terminé.
Sans accord commercial, les relations économiques se feront sur les règles de l’Organisation mondiale du commerce.
Michel Barnier semble oublier, que l’OMC favorise les pays et non les blocs politiques. À l’inverse de la France, le Royaume-Uni n’a jamais quitté son siège à l’OMC.
La Grande Bretagne y est présente depuis 1948. Dommage pour lui !
Michel Barnier sur les échanges commerciaux
Rapport de force
Depuis des décennies, le Royaume-Uni est déficitaire par rapport à ses partenaires européens. Cela ne va pas changer.
D’une part les pays membres de l’UE, Londres est largement en déficit sur presque tous les produits. Or, le PIB du UK se compose de 80% de services.
Par conséquent, la Grande Bretagne achète, tandis que l’UE vend. Pour information, le Royaume-Uni est le plus gros marché de l’Union européenne.
Londres est le premier marché mondial pour le champagne français. Tout est ainsi.
Brexit : Nouvelles relations en Afrique
Ainsi, Londres affiche sa volonté de développer de nouveaux partenariats commerciaux en Afrique et dans le monde.
En effet, l’organisation du dernier sommet économique en présence de 21 dirigeants africains et mondiaux connaît un vif succès.
Donc, la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne change la donne dans le commerce international.
Les relations avec l’Union Européenne correspondent à 43 % de ses exportations et 53 % de ses importations.
Donc, le Royaume-Uni doit trouver de nouveaux territoires pour développer son activité commerciale et conquérir de nouveaux marchés.
Un « investisseur de choix » en Afrique
Telle est la déclaration de Boris Johnson, qui se dit prêt à investir 7 milliards de dollars dans le développement des pays africains.
De plus, Londres possède la capacité de réunir des capitaux. Ce projet devrait mener à de beaux échanges commerciaux.
Alors que les relations entre les pays africains et le Royaume-Uni passaient par l’Union Européenne, des accords bilatéraux pourront être mis en place après le Brexit.
L’Afrique du Sud et le Nigeria pourront ainsi conserver les entreprises britanniques installées depuis plusieurs dizaines d’années dans le secteur des télécoms et des matières premières.
Par exemple, les entreprises françaises ont du mal à exporter dans le monde.
UE, Royaume-Uni et commerce international
Actuellement, des discussions et des partenariats seraient engagés en Afrique Australe, en Côte d’Ivoire, en Angola et au Sénégal.
Pourtant, il s’agit d’accords de transition commerciale. Ensuite, ils devront laisser place à des véritables accords pérennes.
De plus, le régime de l’OMC dit MFN (Most Favoured Nations) permet de réduire les droits d’importation à néant entre les partenaires commerciaux.
Anticiper les futurs frais de douane
Alors que les importations et exportations africaines passaient auparavant par l’Union Européenne, le Brexit risque de changer la donne.
Pour ne pas étouffer les pays africains qui proposent des fleurs, des fruits ou des matières premières, de nouveaux termes devront être fixés entre les deux parties.
Pour éviter ce type de problèmes, des accords commerciaux sont prévus avec des pays comme le Kenya pour l’importation de certains produits.
Ainsi, le Nigeria et l’Afrique du Sud profiteront de conditions préférentielles.
Meilleur accueil des migrants africains
L’avenir des relations entre le Royaume-Uni et l’Afrique devrait évoluer après le Brexit, en ce qui concerne l’accueil des migrants.
En effet, en janvier 2021, les faveurs accordées aux migrants européens prendront fin. Donc, les migrants africains possèderont autant de chances d’être accueillis sur le sol britannique.
Climat et commerce international
L’arrivée de la COP26 à Glasgow fin 2020 pourrait voir l’affirmation de nouvelles positions de la part de Boris Johnson.
De plus, son objectif est de soutenir de véritables projets d’avenir. Les domaines énergétiques de transition ou limitant le carbone seront favorisés après le Brexit.
Michel Barnier sur les échanges commerciaux
Magie de Johnson pour enfin sortir du Brexit
Alors qu’il est au pouvoir depuis six mois, Boris Johnson met en place des changements majeurs et profonds au sein même de son administration.
Une véritable révolution culturelle se met en place pour rendre les services publics plus productifs depuis l’espionnage à la santé.
À ce titre, le nouvel organigramme sera présenté en février aux députés britanniques. Rien ne passera aux oubliettes.
Derrière ce personnage peu conventionnel se cache certainement un réel pouvoir.
Une efficacité redoutable
Alors que Theresa May avait échoué à trois reprises, il n’a fallu que 3 mois à son remplaçant pour trouver un accord avec l’Union Européenne.
Donc, la fin officielle de ce feuilleton interminable se déroulera ce 31 janvier 2020.
Boris Johnson : Maître des horloges
Longtemps considéré comme un bouffon, Boris Johnson réussit à se mettre le Parlement britannique dans la poche
Enfin, le projet de loi de retrait passe et les partisans du Brexit voient enfin leur vote respecté après 4 longues années.
Sans aucun doute, le référendum sur la sortie de l’Union Européenne laissera des traces dans les mémoires collectives.
De nouvelles négociations à prévoir
Si la date officielle du Brexit est fixée au 31 janvier, elle ouvre une nouvelle période de transition avec l’Union.
À cette occasion, le Royaume-Uni et l’Union Européenne devront s’entendre sur les termes de leur future relation commerciale.
A cette occasion, Boris Johnson pourra de nouveau montrer toute l’étendue de son talent.
Michel Barnier sur les échanges commerciaux
Étant donné que les prochaines négociations traiteront de la politique commerciale entre les deux parties, la gestion des frontières et sur les relations seront sur la table.
Pour que le Royaume-Uni impose son point de vue sur ces sujets sensibles, la personnalité de Boris Johnson pourrait bien représenter la meilleure arme.
Divergence ou convergence ?
En effet, Michel Barnier a un mandat restreint des 27 pays membres. De plus, chaque pays défend ses industries, ses fermiers et ses pêcheurs.
Par ailleurs, le Gouvernement britannique indique que la divergence avec l’Union européenne est non-négociable.
Oui, Londres va déréguler au plus vite, afin de niveler par le haut.
Un Royaume-Uni plus puissant ?
La politique de Boris Johnson pourrait bien transformer le pays après le Brexit.
La Grande Bretagne devient plus agile, plus agressive, plus innovante que jamais – donc plus puissante dans le monde !
En effet, la volonté de considérer la population défavorisée sera à l’origine de nouvelles dépenses du gouvernement.
Donc, les projets se multiplient pour le Premier ministre afin d’équilibrer le nord et le sud pendant 5 ans.
Encore une fois, il faudra compter sur la magie du personnage pour changer les mentalités, revoir les priorités et rebondir.
Commerce international et influence dans le monde
Redonner sa grandeur au pays fait partie des points, sur lesquels le Premier ministre britannique souhaite insister, persévérer et transformer le pays.
Selon lui, la sortie de l’Union Européenne représente un tournant dans l’histoire du pays. Comme Thatcher, Boris Johnson va donner une nouvelle dimension au pays.
Après cet évènement, la politique de Boris Johnson pourrait permettre de révéler le véritable potentiel du Royaume-Uni pour des décennies.
Sans doute, Il suivra la même stratégie pour convaincre et concrétiser ses idées. Il s’agit exclusivement de géopolitique et business.
Alerte de Michel Barnier sur les échanges commerciaux
Effet Boris Johnson
Alors que Barnier joue la catastrophe, le pragmatisme britannique ne perd pas le nord. En effet, l’emploi britannique défie toutes les prévisions.
À ce titre, le dernier trimestre 2019 a vu la création de 280.000 emplois de plus que le précédent au Royaume-Uni.
De plus, les salaires connaissent une progression plus importante que l’inflation. Alors que la croissance souffre Outre-Manche, on a le marché du plein emploi.
Le chômage reste à 3.8% un plus bas depuis 1970.
L’emploi ne tremble pas devant le Brexit
Donc, l’emploi britannique défie les pronostics. L’approche du Brexit n’a pas pu freiner sa progression à la fin de 2019.
Avec des salaires en hausse de 3.5%, le taux de chômage est stable à 3,8%. De plus, le SMIC augmentera de 6% en avril et sera plus élevé qu’en France.
Avec un taux d’emploi qui a atteint 76,3 %, le marché de l’emploi britannique démontre qu’il est très solide.
Cette performance est d’autant plus intéressante que le pays traverse une crise économique liée aux rebondissements du Brexit.
Le PIB recule de 0,3 %, sans que le marché de l’emploi en soit perturbé.
Les entreprises investissent
Loin de la peur, ceci s’explique par une volonté des entreprises de penser au présent et d’anticiper au lieu de chercher à investir sur la durée.
Donc, les besoins actuels sont couverts au lieu de miser sur les capacités du Royaume-Uni après le Brexit.
Toutefois si la situation devient plus complexe, certains secteurs peuvent licencier et d’autres recruter. C’est le principe même du Brexit.
Raison de plus pour rester agile !
Multiplication des contrats « zéro heure »
Toutefois, dans le contexte un peu particulier du Brexit, les entreprises utilisent davantage les fameux « contrats zéro heure ».
En effet, ces contrats ont la particularité de ne pas fixer de minimum horaire. Donc, la précarité est toujours d’actualité et reste la recette du succès.
Pourtant, les salaires ont subi une belle augmentation permettant de booster le pouvoir d’achat des britanniques.
Le moral des travailleurs est au beau fixe malgré la tempête du Brexit, qui s’est installée sur le pays.
Un effet Boris Johnson au Royaume-Uni
C’est évident.
En effet, les indices PMI sont au plus haut depuis 16 mois. Le Premier ministre a permis d’obtenir des résultats positifs pour les emplois.
Donc, la victoire du parti de Boris Johnson lors des élections de décembre vient chasser l’incertitude présente depuis de 3 ans.
La date butoir du Brexit est au 31 janvier 2020. De nombreux rassemblements sont prévus dans le pays.
Croissance économique
Selon le FMI, l’économie britannique va repartir à la hausse dans un climat rassurant et dépassera la France et l’Allemagne durant 3 ans au minimum.
Dans les mois qui suivront le Brexit, les dépenses publiques annoncées par le gouvernement pourraient également être en territoire positif.
Pour terminer, la croissance reprend déjà beaucoup plus rapide que prévue. Le mois de Janvier se présente comme un cru excellent.
Questions à Michel Barnier sur les échanges commerciaux
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