Sommet européen 21 mars 2019

Brexit
Sommet européen 21 mars 2019
Theresa May et l’incompétence !
À la veille du Sommet européen 21 mars 2019, le Brexit reste au coeur des actualités de tous les pays. En effet, il semble que Theresa May s’apprête à demander une extension de l’Article 50 de 3 à 12 mois. À dire vrai, l’Union risque de nous surprendre dès la fin du Sommet européen 21 mars 2019. Une incompétence sans nom !
Avec Theresa May allant au Sommet européen 21 mars 2019, les négociations Brexit n’en finissent plus au Parlement britannique.
En date du mardi 12 mars, la Première ministre britannique n’a pas obtenu le feu vert des députés à son accord de retrait de l’Union européenne.
À dire vrai, le texte proposé a été refusé par le Parlement par 391 voix contre 242 la semaine dernière. Encore, un échec pour Theresa May !
C’est la seconde fois que le Parlement refuse d’approuver l’accord, après le premier rejet à la mi-janvier.
Encore des négociations sur le Brexit au Royaume-Uni
Le mercredi 13 mars, les débutés ont rejeté, encore une fois, une proposition faite par la Première ministre Britannique, par 321 voix contre 278.
Résumé : À l’inverse du peuple britannique, le Parlement refuse le texte proposé pour un Brexit négocié, ainsi que le Brexit sans accord.
Au pays de la libre entreprise, le cadre législatif pour les investisseurs, sociétés et start-ups favorise la réussite et aide bien l’économie du Royaume-Uni depuis 2010.
La sortie de l’Union européenne bien compliquée
Alors que Macron indique qu’une extension automatique de l’Article 50 reste loin d’être acquise, ce dernier se bat avec les Gilets Jaunes.
En réalité, le Brexit tout comme les Gilets Jaunes semblent être un bras d’honneur à l’élite, qui refuse de considérer son peuple et de faire des compromis.
À l’aube du Sommet européen 21 mars 2019, l’UE ne donne pas la meilleure image. Quel sera le résultat des élections de l’Union européenne ?
Un résultat en faveur ou contre l’UE ? À suivre…
Un Sommet européen 21 mars 2019 sous tension
Avec la frontière entre les deux Irlande au coeur des débats, cette dernière s’avère un vrai cheval de Troie utilisé à des fins exclusivement politiques.
En effet, l’UE utilise le Brexit et la sortie de l’Union européenne pour réunir les deux Irlande en un seul pays, tout comme la tentative de l’Espagne de reprendre Gibraltar.
À dire vrai, l’Union européenne ne joue que des jeux bassement politiques pour tenter d’affaiblir le Royaume-Uni en Europe et d’annuler le référendum de 2016.
C’est aussi simple que cela !
Zoom sur la frontière irlandaise et le Brexit
Selon les experts, la frontière irlandaise est le point d’achoppement. En fait, il s’agit d’un sujet qui a fait écouler beaucoup d’encre.
D’ailleurs, le traitement de ce dossier a pris plus de 36 mois environ. Il n’est toujours pas réglé.
S’il y a Brexit, les Britanniques doivent trouver la solution idéale pour restaurer la frontière entre l’Irlande du Nord et l’Irlande ou risquer le No Deal.
À noter que le négociateur européen a rejeté la proposition du Brexit, avec une frontière fictive entre les deux Irlande.
Une menace de pénurie
Aussi bien BFM que C-News, les autorités prennent au sérieux les éventuels risques de pénurie et de troubles.
Si la démocratie n’est pas respectée, les troubles seront plus que probables faisant des Gilets Jaunes français, un roman d’amour.
Comme à l’habitude, la presse a fuité un plan d’évacuation de la famille royale. À dire vrai, cette disposition existe depuis la Première Guerre mondiale.
Aucune pénurie de produits, mais une pénurie de démocratie !
Les échanges commerciaux
Par ailleurs, les contraintes douanières ralentiront peu les échanges commerciaux à cause des conventions signées dernièrement.
Pour assurer le transit, les experts évoquent un délai minimum. Cependant, quelques perturbations sont inévitables durant les premières semaines.
« Quand une procédure de divorce est entamée par une partie, il est pourtant normal que celle-ci en subisse les conséquences et qu’une séparation, fût-elle douloureuse, intervienne à un moment donné », indique Hervé Guyader, avocat au bureau de Paris et président du Comité français pour le droit du commerce international.
Sommet européen 21 mars 2019 ou Hard Brexit
Alors que l’économie Britannique tient la route depuis 2016 avec des fondamentaux excellents en opposition à la France, le Hard Brexit reste notre option favorite.
Pourquoi préférons-nous le Brexit No Deal ?
Pour plusieurs raisons, mais la principale reste le respect du résultat du référendum du 23 juin 2016 avec un résultat de 52% en faveur de la sortie de l’Union européenne.
De plus, les économistes en faveur de l’UE promettaient la récession économique, le Brexodus et la perte de 800.00 emplois dès décembre 2016.
Une arnaque totale, car nous attendons toujours la crise économique avec un taux de chômage annoncé à 3.9% en ce 19 mars 2019.
Même les expatriés, qui vivent à Londres, restent là en grande majorité. Ils n’ont pas l’intention de retourner en France.
Bienvenue à Singapour sur la Tamise; enfin nous l’espérons !
Des questions sur la suite du Sommet européen 21 mars 2019 ?
Prenez contact avec un spécialiste à Londres au +44 2081 44 45 46 dès 14 heures ou via Signal sur le mobile au +44 7903 813 717.
Agissez comme s’il était impossible d’échouer. – Winston Churchill
• Free from the #EU?
100% independent – not 75% ?
Will you be at Parliament Square?
29th March will be a historic rally of Brexiteers to tell those in power not to betray #Brexit. pic.twitter.com/npKVEBiyFS
— French Brexiteer – Didier Delmer (@didierdelmer) March 10, 2019