Backstop irlandais et Brexit : Non, Nein, No, Niet !
Backstop irlandais et Brexit
UK et UE
C’est Non, Nein, No, Niet !
Alors que le backstop irlandais et Brexit restent les sujets chauds dans le divorce entre le Royaume-Uni et l’UE, Bruxelles et Londres campent sur leurs positions respectives. Par conséquent, on s’achemine vers le Hard Brexit avec un facture de 8 milliards de £ environ. Qu’en est-il avec précision ?
Sommaire
Backstop irlandais et Brexit depuis Londres
Pour commencer, il est à noter que Theresa May n’a rien en commun avec la Dame de Fer. En effet, Margaret Thatcher faisait souvent plier Bruxelles.
En réalité, Theresa May plie devant l’Union et négocie à peine. À dire vrai, cette dernière a voté contre la sortie de l’Union.
En outre, c’est une fervente ambassadrice de l’Union européenne. Pour mémoire, 52% ont voté en faveur du Brexit en date du 23 juin 2016.
Le problème du backstop irlandais et Brexit
Par ailleurs, le Royaume-Uni comprend l’Écosse, le Pays de Galles, l’Angleterre et l’Irlande du Nord.
Depuis 1924, l’Irlande et le Royaume-Uni ont signé un accord de libre-circulation des personnes. De plus les accords du Vendredi-Saint de 1998 ont mis fin aux violences.
Cependant, le Marché Unique et ses 4 libertés viennent bousculer les relations entre la République d’Irlande et l’Irlande du Nord.
Toutefois, les accords entre l’Irlande et le Royaume-Uni sont antérieurs au Traité de Lisbonne et au Marché Unique.
Un vrai labyrinthe politique pour Londres et Bruxelles.
Relations entre Londres et Bruxelles pour la sortie de l’Union
En fait, l’UE occupe une petite place dans les échanges commerciaux mondiaux. Pour information, l’Union ne représente que 8% de la croissance mondiale.
Quant au Royaume-Uni, il désire confirmer et accroître son leadership en qualité de « Hub Mondial du Business ».
Par conséquent, Londres s’attaquera aux autres 92% de la croissance mondiale (source Banque Mondiale 2018).
Royaume-Uni: le plus gros marché de l’Union !
Sur la base des chiffres des différences sources, Londres est le plus gros client des allemands pour les voitures et des français pour la gastronomie et le luxe.
Selon le site de l’UE, le nombre d’emplois sur la table s’élève à 4 millions au minimum sur le continent européen et 55.000 en Grande Bretagne.
En qualité de client, le Royaume-Uni peut acheter dans le monde entier. En dernier lieu, la concurrence mondiale jouera son rôle.
Vive l’offre et la demande sur la base des accords de l’OMC !
Backstop : L’Irlande
Depuis des décennies, les contentieux entre le Royaume-Uni et l’Irlande sont nombreux et multiples.
Allant de la politique, à l’indépendance sans oublier les enjeux économiques, Dublin et Londres ont des positions opposées.
Alors que la République irlandaise fût renflouée par les contribuables européens, Dublin sera la première victime d’un Hard Brexit.
En effet, 70% des produits et services consommés en Irlande viennent… du Royaume-Uni !
À suivre de près !
Backstop irlandais et Brexit : L’avenir
À la rédaction, nous pensons que l’UE ne pliera pas sur ce point. En effet, la Commission doit donner un exemple pour l’ensemble des 27 nations.
Au même titre, le Royaume-Uni restera sur sa position pour respecter le résultat du référendum et en profiter pour reprendre sa liberté et sa souveraineté entière.
Qualité vs Quantité
Comme nous le savons tous, la Grande Bretagne a toujours été le mauvais élève de l’Union depuis l’élargissement de la Communauté européenne.
Si nous étions restés à 12 membres au sein du marché commun, le Brexit n’aurait pas vu le jour.
Quant au backstop irlandais et Brexit, cela restera non, nein, no et niet. Bienvenue à Singapour sur la Tamise dès 2019 !
Des questions spécifiques sur le backstop irlandais et Brexit ? Prenez contact avec nos spécialistes à Londres au +44 2081 44 45 46 ou WhatsApp +44 7903 813 717.
Agissez comme s’il était impossible d’échouer. – Winston Churchill
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Chômage UK en 2019 au plus bas !